dimanche 29 mars 2020

conseil d'un peintre

Le Krach Boursier ? et oui
( titre aquarelle scission dans l'espace) ou scission monétaire cela dépend de vous, mettre son argent en faisant des achats de placement , sur interencheres achetez en live des peintures,des sculptures,mettre son argent a l’abri , revendre a un meilleur moment.
un tableau vaut de l'or pour speculer,voir sur: https://ben-salomon.blogspot.com/

Nos comptes bancaires seront-ils siphonnés en cas de faillite ?

Coronavirus (COVID-19) : adieu, la mondialisation ? Une interview de Pat...

Coronavirus : la Fed peut-elle encore éviter un krach boursier ?

lundi 16 mars 2020

le domaine de “l’économie financière

On le comprend : dans le domaine de “l’économie financière”, le domaine bancaire sera donc mis à rude épreuve. N’ayant en réalité aucune marge de manœuvre et beaucoup de banques européennes (Deutsche Bank, Commerzbank, Société Générale, …) étant à la fois systémiques et assez mal capitalisées, la probabilité d’un effondrement de ces établissements est maintenant élevée, que ce soit en vitesse lente, à la japonaise, ou en vitesse rapide (bank run). Les mesures que prendront les Etats et la Banque Centrale Européenne seront un excellent indicateur du niveau de panique des marchés mais si le passé est un indicateur de ce qu’ils envisageront de faire, alors on peut compter sur eux pour faire massivement fonctionner la planche à billet. Dans ce contexte, l’or devrait monter, tout comme le dollar américain. Il va être extrêmement difficile de naviguer financièrement dans les prochains mois qui seront très agités ; on pourra tenter d’entrer au bon moment sur les marchés pour changer ses liquidités en actions d’entreprises solides ou d’ETF7, seule garantie d’avoir quelque chose à la fin des interventions étatiques probablement brouillonnes voire dévastatrices. Malheureusement, il sera très difficile de savoir quand le moment est arrivé. Sociologiquement En France notamment, on peut s’attendre à des problèmes majeurs : les problèmes sociaux s’empilent et n’ont pas été résolus, ni par Macron, ni par ses prédécesseurs qui se sont tous illustrés par une relative complaisance avec l’inaction. Cette crise agira probablement comme révélateur des fortes tensions de la société française et il ne serait pas étonnant que ceci se traduise par des mouvements de foules d’ampleur majeure, historique même. Il est extrêmement délicat de faire des pronostics en l’occurrence, mais on comprend bien que certaines populations ne vivront pas la perte de dizaines ou de centaines de leurs proches avec le même stoïcisme que d’autres : une nation entièrement habituée à toujours compter sur l’Etat pour tous ses petits bobos et ses grands malheurs risque un réveil douloureux lorsqu’elle se rendra compte de l’incroyable désinvolture8 avec laquelle cette crise aura été traitée par nos élites. Cette crise, comme beaucoup avant elle, sera révélatrice de la nature humaine et de ce que certains ont effectivement dans le ventre. Ce ne sera pas toujours héroïque... Un avenir plein d’opportunités Les mois qui viennent devant nous serons durs et probablement remplis de larmes. Ceux qui suivront seront, inévitablement, agités : beaucoup voudront des comptes et demanderont des explications - on ne ponctionne pas 1000 milliards d’euros chaque année sur le dos des Français sans, un jour, en attendre un retour palpable... Mais une fois ces étapes passées, le monde sera assis sur des bases complètement différentes. Soyons optimistes et regardons le bon côté des choses : parions qu’elles seront meilleures.

jeudi 5 mars 2020

La Banque du Canada abaisse à son tour ses taux d’intérêt Éric Desrosiers Les regards se tournent désormais vers les gouvernements.


 
COVID-19
 
Les masques, un équipement précieux
 
Guillaume Lepage 
 
Québec exige du réseau de la santé une gestion plus serrée de son stock de masques.
 
 
La Banque du Canada abaisse à son tour ses taux d’intérêt
 
Éric Desrosiers 
 
Les regards se tournent désormais vers les gouvernements.
 
 
Analyse: et après l’épidémie?
 
Gérard Bérubé 
 
Le passé ne peut être garant de l’avenir.
 
 
L’économie américaine subit les effets de l’épidémie
 
Le Devoir 
 
La moitié des douze banques centrales régionales signale des conséquences.
 
 
 
 
 
 
SANTÉ PUBLIQUE
 
Le laboratoire qui traque le COVID-19
 
Marie-Eve Cousineau 
 
Le personnel du Laboratoire de santé publique du Québec est en première ligne dans la détection du...
 
 
Visite du laboratoire québécois qui traque le COVID-19
 
Guillaume Levasseur 
 
Le personnel du Laboratoire de santé publique est en première ligne dans la détection du coronavirus.
 
 
 
 
 
 
BLOCUS FERROVIAIRE
 
Les chefs wet’suwet’en élus se sentent exclus des négociations
 
Hélène Buzzetti 
 
Ces chefs sont en majorité favorables au gazoduc Coastal GasLink.
 
 
Une annonce attendue jeudi matin à Kahnawake
 
La Presse canadienne Alexis Riopel 
 
Mercredi, le Canadien Pacifique a procédé à l’inspection des rails au barrage de Kahnawake.
 
 
Non, les motoneiges des Autochtones ne sont pas gratuites
 
Marie-Michèle Sioui 
 
Une Attikamek, un Mohawk et une Anishnabe s’emploient à déboulonner les perceptions racistes véhiculées par les réseaux sociaux.
 
 
 
 
 L’Ordre national du Québec se penchera sur le dossier Jean Vanier
 
Guillaume Bourgault-Côté 
 
Jamais l’Ordre national du Québec n’a été retiré à qui que ce soit.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
OPINION
 
 
 
Guy Taillefer     Guy Taillefer
 
Biden, par défaut
 
Les démocrates à la recherche d’une assurance anti-Trump.
 
 
 
Odile Tremblay     Odile Tremblay
 
Le chant du cygne de Polanski
 
Il ne tournera plus, le cinéaste du «Pianiste». C’est entendu.
 
 
 
Carlos David Castro
 
Différentes maladies, mêmes symptômes
 
Le virus devient un motif de persecution de plus parmi de nombreux prejuges deja partages par certains individus.
 
 
 
François Tanguay
 
Le BAPE et GNL
 
Notre sélection quotidienne, toutes plateformes confondues, rassemblée ici.
 
 
 
Cheikh Faye
 
Le COVID-19 et le droit de refus au travail
 
La peur pourrait mener quelques personnes à suivre l’exemple des travailleurs français.
 
 

mercredi 4 mars 2020

Les Français ont fui la bourse

Cher Investisseur,

Nous venons de vivre un épisode de stress intense sur les marchés.

Lundi et mardi derniers étaient les 2 pires jours depuis 4 ans pour les Bourses américaines.

En Europe, c’était aussi un massacre.

Ce que nous avons vu, c’est de la panique.

J’en veux pour preuve les magasins vidés de leurs stocks de boîtes de conserves et de désinfectants par des citoyens à la limite de la paranoïa. [1]

Il faut dire que les marchés étaient un long fleuve tranquille depuis début 2019.

Alors beaucoup avaient oublié pourquoi la Bourse est un des meilleurs investissements qui existe.

La surperformance de la Bourse est due à la volatilité.

Pour qu’il y ait du gain, il faut du risque.

Ou au moins la perception du risque.

Alors si c’est trop tranquille, ce n’est pas normal…

Et une correction est presque inévitable.

Autant dire qu’il y en a qui ont sué la semaine dernière !

Pourtant, à l’échelle historique, cet épisode baissier reste un simple hoquet.

Car lorsqu’on investit, il faut être prêt à bien pire (désolé d’apporter les mauvaises nouvelles).


Ceux qui ont vécu 2008 peuvent témoigner


Cela reste un traumatisme pour beaucoup d’investisseurs.

Il s’est produit une baisse vertigineuse de 53% qui a effacé 5 ans de croissance en 15 mois.

Ceux qui n’étaient pas préparés ont eu leur compte.

Beaucoup ont vendu sans se retourner…

Alors qu’il fallait faire l’inverse !


Les Français ont fui la bourse


C’est bien simple :

La moitié des investisseurs français a fui la bourse suite à la crise de 2008. [2]

  • Ils étaient plus de 7 millions avant la crise